Aujourd’hui, il est très difficile de dupliquer une seule et même stratégie de détection feu et gaz sur tous les projets industriels ou sites existants. En effet, les contextes environnementaux, économiques, techniques et opérationnels spécifiques à chaque site et projet obligent à définir une stratégie et une philosophie spécifique.
C’est ainsi que SAFENGY préconise toujours la définition d’une philosophie de détection feu et gaz afin que le client et potentiellement les autorités, services de secours et assureurs valident les principes qui pourront être appliqués sur le projet ou sur le site existant.
Il est nécessaire de définir le type de détecteur à mettre en place. Au niveau de la détection incendie, les détecteurs peuvent être de type optique de fumées ponctuel ou linéaire, thermostatique (détecteur de chaleur), thermo-vélocimétrique (détecteur de chaleur), optique de flamme (UV, IR, UV/IR ; IR3, IR4) en fonction de la typologie du feu rencontré (hydrocarbure, gaz, hydrogène, combustible solide…).
Quant aux détecteurs de gaz (toxique ou inflammable), ils peuvent être de type Infra rouge ponctuel ou linéaire, catalytique, électrochimique ou semi-conducteur dépendant de la typologie du gaz à détecter (ex : IR pour les feux d’hydrocarbures, catalytique pour les feux d’hydrogène et électrochimique ou semi-conducteur pour la présence sulfure d’hydrogène).
Il convient également de définir les principes de localisation des détecteurs. Pour des pièces ou bâtiments classiques, la mise en place des détecteurs incendie (fumée, chaleur) sera relativement aisée par l’application de règles reconnues comme la règle APSAD R7 du CNPP applicable spécifiquement en France ou encore la norme NFPA 72 applicable généralement sur les projets internationaux.
En revanche, la localisation de détecteurs optiques de flamme ou encore de détecteurs de gaz est très spécifique et nécessite une expertise. C’est pourquoi, il est nécessaire de donner les principes retenus pour ce type de détection.
En complément de la localisation des détecteurs, la question de la redondance ou non de ces derniers doit être posée. En effet, le choix de la redondance ou non des détecteurs est notamment fonction du niveau de fiabilité de l’exécution des actions automatiques de sécurité. Ainsi, un industriel qui souhaite mettre en place un système de détection feu et gaz initiant des actions et alarmes automatiques aura tout intérêt à envisager de redonder ses détecteurs afin d’améliorer la fiabilité de son système de détection incendie / feu et gaz et éviter ainsi toute action automatique en cas de déclenchement intempestif d’un seul détecteur.
Mais attention, pour des raisons économiques évidentes, la redondance de détecteurs ne signifie pas forcément doubler les détecteurs à un même emplacement. Il est donc nécessaire de faire un travail d’optimisation d’emplacement des détecteurs afin de les valoriser du mieux possible (1 détecteur doit donc couvrir autant que possible plusieurs zones à surveiller). Enfin, en cas de redondance de détecteur, il peut être envisagé de grouper ces détecteurs en logique votée afin de minimiser les fausses alarmes. Par exemple, une action automatique ne peut être initiée que si deux détecteurs sur trois détectent l’accident. On parle alors de détection confirmée.
En complément de la localisation des détecteurs, la question de la redondance ou non de ces derniers doit être posée. En effet, le choix de la redondance ou non des détecteurs est notamment fonction du niveau de fiabilité de l’exécution des actions automatiques de sécurité. Ainsi, un industriel qui souhaite mettre en place un système de détection feu et gaz initiant des actions et alarmes automatiques aura tout intérêt à envisager de redonder ses détecteurs afin d’améliorer la fiabilité de son système de détection incendie / feu et gaz et éviter ainsi toute action automatique en cas de déclenchement intempestif d’un seul détecteur.
Mais attention, pour des raisons économiques évidentes, la redondance de détecteurs ne signifie pas forcément doubler les détecteurs à un même emplacement. Il est donc nécessaire de faire un travail d’optimisation d’emplacement des détecteurs afin de les valoriser du mieux possible (1 détecteur doit donc couvrir autant que possible plusieurs zones à surveiller). Enfin, en cas de redondance de détecteur, il peut être envisagé de grouper ces détecteurs en logique votée afin de minimiser les fausses alarmes. Par exemple, une action automatique ne peut être initiée que si deux détecteurs sur trois détectent l’accident. On parle alors de détection confirmée.
Aujourd’hui, il est très difficile de dupliquer une seule et même stratégie de détection feu et gaz sur tous les projets industriels ou sites existants. En effet, les contextes environnementaux, économiques, techniques et opérationnels spécifiques à chaque site et projet obligent à définir une stratégie et une philosophie spécifique.
C’est ainsi que SAFENGY préconise toujours la définition d’une philosophie de détection feu et gaz afin que le client et potentiellement les autorités, services de secours et assureurs valident les principes qui pourront être appliqués sur le projet ou sur le site existant.
Il est nécessaire de définir le type de détecteur à mettre en place. Au niveau de la détection incendie, les détecteurs peuvent être de type optique de fumées ponctuel ou linéaire, thermostatique (détecteur de chaleur), thermo-vélocimétrique (détecteur de chaleur), optique de flamme (UV, IR, UV/IR ; IR3, IR4) en fonction de la typologie du feu rencontré (hydrocarbure, gaz, hydrogène, combustible solide…).
Quant aux détecteurs de gaz (toxique ou inflammable), ils peuvent être de type Infra rouge ponctuel ou linéaire, catalytique, électrochimique ou semi-conducteur dépendant de la typologie du gaz à détecter (ex : IR pour les feux d’hydrocarbures, catalytique pour les feux d’hydrogène et électrochimique ou semi-conducteur pour la présence sulfure d’hydrogène).
Il convient également de définir les principes de localisation des détecteurs. Pour des pièces ou bâtiments classiques, la mise en place des détecteurs incendie (fumée, chaleur) sera relativement aisée par l’application de règles reconnues comme la règle APSAD R7 du CNPP applicable spécifiquement en France ou encore la norme NFPA 72 applicable généralement sur les projets internationaux.
En revanche, la localisation de détecteurs optiques de flamme ou encore de détecteurs de gaz est très spécifique et nécessite une expertise. C’est pourquoi, il est nécessaire de donner les principes retenus pour ce type de détection.
En complément de la localisation des détecteurs, la question de la redondance ou non de ces derniers doit être posée. En effet, le choix de la redondance ou non des détecteurs est notamment fonction du niveau de fiabilité de l’exécution des actions automatiques de sécurité. Ainsi, un industriel qui souhaite mettre en place un système de détection feu et gaz initiant des actions et alarmes automatiques aura tout intérêt à envisager de redonder ses détecteurs afin d’améliorer la fiabilité de son système de détection incendie / feu et gaz et éviter ainsi toute action automatique en cas de déclenchement intempestif d’un seul détecteur.
Mais attention, pour des raisons économiques évidentes, la redondance de détecteurs ne signifie pas forcément doubler les détecteurs à un même emplacement. Il est donc nécessaire de faire un travail d’optimisation d’emplacement des détecteurs afin de les valoriser du mieux possible (1 détecteur doit donc couvrir autant que possible plusieurs zones à surveiller). Enfin, en cas de redondance de détecteur, il peut être envisagé de grouper ces détecteurs en logique votée afin de minimiser les fausses alarmes. Par exemple, une action automatique ne peut être initiée que si deux détecteurs sur trois détectent l’accident. On parle alors de détection confirmée.
En complément de la localisation des détecteurs, la question de la redondance ou non de ces derniers doit être posée. En effet, le choix de la redondance ou non des détecteurs est notamment fonction du niveau de fiabilité de l’exécution des actions automatiques de sécurité. Ainsi, un industriel qui souhaite mettre en place un système de détection feu et gaz initiant des actions et alarmes automatiques aura tout intérêt à envisager de redonder ses détecteurs afin d’améliorer la fiabilité de son système de détection incendie / feu et gaz et éviter ainsi toute action automatique en cas de déclenchement intempestif d’un seul détecteur.
Mais attention, pour des raisons économiques évidentes, la redondance de détecteurs ne signifie pas forcément doubler les détecteurs à un même emplacement. Il est donc nécessaire de faire un travail d’optimisation d’emplacement des détecteurs afin de les valoriser du mieux possible (1 détecteur doit donc couvrir autant que possible plusieurs zones à surveiller). Enfin, en cas de redondance de détecteur, il peut être envisagé de grouper ces détecteurs en logique votée afin de minimiser les fausses alarmes. Par exemple, une action automatique ne peut être initiée que si deux détecteurs sur trois détectent l’accident. On parle alors de détection confirmée.
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